sábado, 3 de abril de 2010
fans de Candice en Facebook
bueno, para todos los fans de Candice en face aki les dejo el link de la mejor pagina... hay fotos, videos, y de todo un poquito =) espero y les guste,.http://www.facebook.com/profile.php?ref=profile&id=1300483216#!/pages/Candice-Clot/198219232266?ref=ts
viernes, 5 de febrero de 2010
PREGUNTAS!
Bueno, para el que quiera solicitar letras de canciones o traducciones las puede pedir y yo con gusto las publicare =)
domingo, 31 de enero de 2010
Tératologie
Parle-moi encore, je sais ce que tu aimes faire de moi.
Déforme-moi, dévore l’assassin prétorien assoiffé par mon vin.
Viens coucher ma tête fauchée, termine ton effort.
Travaille ton sang à ma sueur mêlée.
N’oublie jamais la saveur de l’horreur sous mes dents.
N’oublie jamais que le corps n’oublie jamais.
Tu m’as vendue clouée, usée.
Tu te souviendras de moi.
J’achèverai ta plaie, l’odeur de ta peur me ment.
Les carcasses ici s’amassent, collection organique.
Les murmures manipulent les dérèglements anatomiques.
Quelle claire anthropophanie.
De curieuses tortures réinventent la genèse du corps.
Nourris pas nous.
Les bêtes pendues, protomés humains à l’âme tendue.
Ils savent déjà tout.
Vident la gueule de leurs chiennes pour boucher la mienne.
J’ai là quatre autres langues pour dire tout ce que je sais.
Tout ce que je saigne.
N’oublie jamais la saveur de l’horreur sous mes dents.
N’oublie jamais que le corps n’oublie jamais.
Tu m’as vendue clouée, usée.
Tu te souviendras de moi.
On te rappellera ce que tu nous as fait et comment tu l’as fait.
Nos crânes, couvercles amovibles, coulisses de l’après.
L’œil imprévisible moi, métastable Mandrill au visage d’argile.
Maintenant je sais.
Je sais qui tu es.
Tu sais qui tu es.
Tu sais qui tuer.
Tératologie morphologique.
Monstruosité fixée.
N’oublie jamais que le corps n’oublie jamais.
Tu m’as pendue tournée, cordée, je reviendrai hurler.
Ma honte, vomir ta tombe de nuages emplis de feu de carnage.
Pour que plus jamais ta mort ne te repose.
J’attends la gueule béante ma folie salivante.
La chaleur de ton cœur sous ma langue, apparaît ton vrai visage.
Je te hais, je te hais, JE TE HAIS, je te hais puisqu’on se connaît, puisqu’on se connaît, puisqu’on se connaît.
Déforme-moi, dévore l’assassin prétorien assoiffé par mon vin.
Viens coucher ma tête fauchée, termine ton effort.
Travaille ton sang à ma sueur mêlée.
N’oublie jamais la saveur de l’horreur sous mes dents.
N’oublie jamais que le corps n’oublie jamais.
Tu m’as vendue clouée, usée.
Tu te souviendras de moi.
J’achèverai ta plaie, l’odeur de ta peur me ment.
Les carcasses ici s’amassent, collection organique.
Les murmures manipulent les dérèglements anatomiques.
Quelle claire anthropophanie.
De curieuses tortures réinventent la genèse du corps.
Nourris pas nous.
Les bêtes pendues, protomés humains à l’âme tendue.
Ils savent déjà tout.
Vident la gueule de leurs chiennes pour boucher la mienne.
J’ai là quatre autres langues pour dire tout ce que je sais.
Tout ce que je saigne.
N’oublie jamais la saveur de l’horreur sous mes dents.
N’oublie jamais que le corps n’oublie jamais.
Tu m’as vendue clouée, usée.
Tu te souviendras de moi.
On te rappellera ce que tu nous as fait et comment tu l’as fait.
Nos crânes, couvercles amovibles, coulisses de l’après.
L’œil imprévisible moi, métastable Mandrill au visage d’argile.
Maintenant je sais.
Je sais qui tu es.
Tu sais qui tu es.
Tu sais qui tuer.
Tératologie morphologique.
Monstruosité fixée.
N’oublie jamais que le corps n’oublie jamais.
Tu m’as pendue tournée, cordée, je reviendrai hurler.
Ma honte, vomir ta tombe de nuages emplis de feu de carnage.
Pour que plus jamais ta mort ne te repose.
J’attends la gueule béante ma folie salivante.
La chaleur de ton cœur sous ma langue, apparaît ton vrai visage.
Je te hais, je te hais, JE TE HAIS, je te hais puisqu’on se connaît, puisqu’on se connaît, puisqu’on se connaît.
jueves, 28 de enero de 2010
V.I.T.R.I.O.L
Tes cris se hachent, ta vie se gâche à sucer l'ennemi.
j'ai peur de tomber pour ne plus jamais ma relever.
j'ai peur de toujours te haïr et ma vie passe, je n'ai pas guérie.
tu vois, je me lasse.
Fatiguée de t'entendre me dire comment vivre.
Fatiguée de porter ces sacs vides.
Fatiguée d'écouter parles ces gens qui s'ennvient.
Fatiguée d'écouter ces gens qui envient.
Fatiguée d'écouter ces gens, je veurais m'allonger
j'ai peur de dormir et ne plus jamais me réveiller.
j'ai peur de chaque soir, devoir encore y croire des pleurs de panique, visage poncé.
Terreur en heure creuse, chaque jour me semble un peu plus court.
chaque minute inutile, chaque jour me semble un profond qu'il me soîle.
je n'ai plus le temps.
ruine et counds nos coeurs déchires, mutilés pas tes soins.
je n'aurais jamais, jamais pense t'abînes, reconocer t'abandonne, mes bras l'âchent de te voir tellement vrai, tellement toi.
Prête à tout perdre pour garder ta chimere, son fantôme.
je me hais, je me suis trompée.
j'irais trouver ma force dans la haine que tu allaites.
coller mes mains sur ton coeur de rancoeur en extraire l'âcre suicide.
Serrer mes ooings sur ton coeur de rancoeur.
En vidre lâpre liquide d'humeur.
Défiguré d'acrimonie facile, ta voilà laide de vivre.
affamée de souhaits, trop d'appétits.
D'excitation hostile, ta voilà raide, avide affalée.
Trops d'appetits ma fille, je pourrais bien finir pe te faire vomir, encore combien d'années, combien de temps.
Rien ne sera plus jamais comme avant.
Combien de fois ou fond de toi. combien de fois.
ta verité ma détestée
Rien ne sera plus comme avant.
Liquide éphémère
Où vont-elles ? Toutes ces âmes.
Ombres et air de retraite.
Souffleur d’éther, vapeur sur mer.
Douleur d’essence, éteins celle qui danse.
Celle qui gèlent le vent, ouvre et quitte le temps.
Je désire acheter le ciel.
Sans que vos dieux me prennent.
Mais mon cœur reste en hiver.
Oh j’ai oublié peut-être.
Vos visages de poussières.
Vous me manquez.
Où vont-ils ? Ces enfants violemment grands.
Ces noyaux ardents.
Souffrent-ils de flâner à jamais.
Dans les déserts soulagés.
Passagers de la terre au liquide éphémère.
Déguste-toi car ici tu ne vivras qu’une fois.
Je désire acheter le ciel.
Sans que vos dieux me prennent.
Mais mon cœur reste en hiver.
Oh j’ai oublié peut-être.
Vos visages de poussières.
Vous me manquez.
Ombres et air de retraite.
Souffleur d’éther, vapeur sur mer.
Douleur d’essence, éteins celle qui danse.
Celle qui gèlent le vent, ouvre et quitte le temps.
Je désire acheter le ciel.
Sans que vos dieux me prennent.
Mais mon cœur reste en hiver.
Oh j’ai oublié peut-être.
Vos visages de poussières.
Vous me manquez.
Où vont-ils ? Ces enfants violemment grands.
Ces noyaux ardents.
Souffrent-ils de flâner à jamais.
Dans les déserts soulagés.
Passagers de la terre au liquide éphémère.
Déguste-toi car ici tu ne vivras qu’une fois.
Je désire acheter le ciel.
Sans que vos dieux me prennent.
Mais mon cœur reste en hiver.
Oh j’ai oublié peut-être.
Vos visages de poussières.
Vous me manquez.
miércoles, 27 de enero de 2010
Le chair et le sang
Berce-la!
Dans son ventre, petite fille, petite pute. Il est entré, visage obscur, mâle impur. Plus près de toi, laisse pénétrer ses doigts. Elle est sale. Elle a mal.
Fenêtres et portes sont fermées, il est entré.
Aime-le! Famille sacrée, fermée. Comme une messe, rituel régulier, chaque soir la porte s'ouvre.
Maman! elle avait pourtant fait son lit. Maman! Ses draps, son lit sont souillés.
Maman... !
Donne-toi à lui ses remords sont des frasques, il te déflore. Donne-toi, mais cri pas trop fort! Ses sales doigts ont taché ton corps.
Encore, il te touche, tellement, ta peau est douce
Dans son ventre, petite fille, petite pute. Il est entré, visage obscur, mâle impur. Plus près de toi, laisse pénétrer ses doigts. Elle est sale. Elle a mal.
Fenêtres et portes sont fermées, il est entré.
Aime-le! Famille sacrée, fermée. Comme une messe, rituel régulier, chaque soir la porte s'ouvre.
Maman! elle avait pourtant fait son lit. Maman! Ses draps, son lit sont souillés.
Maman... !
Donne-toi à lui ses remords sont des frasques, il te déflore. Donne-toi, mais cri pas trop fort! Ses sales doigts ont taché ton corps.
Encore, il te touche, tellement, ta peau est douce
lunes, 25 de enero de 2010
Pourquoi?
Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais!
Je n'arrive plus à me souvenir.
Mes yeux aveugle, ma bouche vomit.
Tu bouffes ma haine, mon corps qui pourrit.
Je n'trouve plus ma place dans son plaisir. Il m'a pompée les restes d'innocence.
La mauvaise herbe semée dans son ventre... J'n'ai ni remords ni regret. J'n'éprouve plus rien pour personne.
Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais!
Le regard vide et le cœur blanc. Je me voue, tu vois, mais fait semblant.
J'ai appris à rester sèche et seule.
La main absente a volé l'émotion.
Je n'arrive plus à avoir de dévotion, ni la putain de célèbre affection. Et quand j'obtiens tout c'que je veux, j'n'en veux plus, me lasse, et le détruis.
Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais!
Tu vois, c'est plus fort que moi, mais toi, tu n'y échapperas pas.
La vie, comme tu la vois, est, chaque jour, différente pour moi.
Tu aimes autrui et tu partages... Je crois que moi je n'connais pas. Viens et approche-toi de moi!
Sens l'enfer grandir en moi.
La salope prend tout, elle aime, elle utilise.
Chienne, pourquoi...?
Tout ce qu'elle commence, elle ne le finira jamais.
Je n'arrive plus à me souvenir.
Mes yeux aveugle, ma bouche vomit.
Tu bouffes ma haine, mon corps qui pourrit.
Je n'trouve plus ma place dans son plaisir. Il m'a pompée les restes d'innocence.
La mauvaise herbe semée dans son ventre... J'n'ai ni remords ni regret. J'n'éprouve plus rien pour personne.
Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais!
Le regard vide et le cœur blanc. Je me voue, tu vois, mais fait semblant.
J'ai appris à rester sèche et seule.
La main absente a volé l'émotion.
Je n'arrive plus à avoir de dévotion, ni la putain de célèbre affection. Et quand j'obtiens tout c'que je veux, j'n'en veux plus, me lasse, et le détruis.
Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais!
Tu vois, c'est plus fort que moi, mais toi, tu n'y échapperas pas.
La vie, comme tu la vois, est, chaque jour, différente pour moi.
Tu aimes autrui et tu partages... Je crois que moi je n'connais pas. Viens et approche-toi de moi!
Sens l'enfer grandir en moi.
La salope prend tout, elle aime, elle utilise.
Chienne, pourquoi...?
Tout ce qu'elle commence, elle ne le finira jamais.
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