jueves, 28 de enero de 2010
V.I.T.R.I.O.L
Tes cris se hachent, ta vie se gâche à sucer l'ennemi.
j'ai peur de tomber pour ne plus jamais ma relever.
j'ai peur de toujours te haïr et ma vie passe, je n'ai pas guérie.
tu vois, je me lasse.
Fatiguée de t'entendre me dire comment vivre.
Fatiguée de porter ces sacs vides.
Fatiguée d'écouter parles ces gens qui s'ennvient.
Fatiguée d'écouter ces gens qui envient.
Fatiguée d'écouter ces gens, je veurais m'allonger
j'ai peur de dormir et ne plus jamais me réveiller.
j'ai peur de chaque soir, devoir encore y croire des pleurs de panique, visage poncé.
Terreur en heure creuse, chaque jour me semble un peu plus court.
chaque minute inutile, chaque jour me semble un profond qu'il me soîle.
je n'ai plus le temps.
ruine et counds nos coeurs déchires, mutilés pas tes soins.
je n'aurais jamais, jamais pense t'abînes, reconocer t'abandonne, mes bras l'âchent de te voir tellement vrai, tellement toi.
Prête à tout perdre pour garder ta chimere, son fantôme.
je me hais, je me suis trompée.
j'irais trouver ma force dans la haine que tu allaites.
coller mes mains sur ton coeur de rancoeur en extraire l'âcre suicide.
Serrer mes ooings sur ton coeur de rancoeur.
En vidre lâpre liquide d'humeur.
Défiguré d'acrimonie facile, ta voilà laide de vivre.
affamée de souhaits, trop d'appétits.
D'excitation hostile, ta voilà raide, avide affalée.
Trops d'appetits ma fille, je pourrais bien finir pe te faire vomir, encore combien d'années, combien de temps.
Rien ne sera plus jamais comme avant.
Combien de fois ou fond de toi. combien de fois.
ta verité ma détestée
Rien ne sera plus comme avant.
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